Some experts believe that the stock of unsold properties will be lowered significantly in 2012

Certains experts croient que le stock de logements invendus va significativement diminuer en 2012, puisque la réduction du stock de biens est la priorité du secteur immobilier espagnol.


Les développeurs et les institutions financières ont un besoin critique de réduire leur portefeuille de propriétés de manière à répondre au paiement des dettes des créanciers, pour les premiers, et à réduire leurs actifs immobiliers et donc de leurs arriérés, pour les banques et caisses d'épargne.


Jusqu'à présent, cela n'a pas été possible, du moins pas autant que l'industrie l’aurait souhaité, en raison des difficultés économiques, des pénuries en matière d'octroi des prêts par les institutions et aussi parce que les prix immobiliers en général n'ont pas connu de baisse de prix significative comme d'autres marchés tels que l'Américain ou le Britannique, où les prix ont baissé depuis le début de la crise de plus de 20%.


Toutefois, comme on dit en Espagne, l'espoir est la dernière chose à perdre et dans le secteur il y a également place pour l'optimisme. Selon une étude immobilière réalisée par l'Institut de la pratique des affaires (IPE), le stock de logements invendus a été réduit de 23,6% cette année, pour atteindre 611,250 maisons. L'étude indique également que le secteur commencera sa reprise en 2013 et on s'attend, d’ici deux ans, à environ 100 000 nouveaux logements construits.


Pour ce faire, selon l'IPE, la demande des non-résidents joue un rôle clé. Par-dessus tout celui des Allemands, des Britanniques et des Scandinaves, dans l'acquisition d'une résidence secondaire dans les zones côtières.


Selon les derniers chiffres de la Banque d'Espagne, les investisseurs étrangers ont investi l'an dernier en Espagne un montant de 4 748 millions d'euros, soit une hausse de 27% en 2010. Le chiffre de 4000 millions d'euros n'avait pas été dépassé au cours des trois dernières années. Un tel taux de croissance, n’a pas été enregistré depuis le dernier boom immobilier.


En outre, l'IPE indique également que, compte tenu du resserrement des conditions de crédit, il y a eu une augmentation des achats au comptant et il est prévu qu'en 2012, le nombre des prêts hypothécaires signés sera d’un tiers de ceux officialisées en 2006.


Source: ElConfidencial.com


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